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Il n’est pas nécessaire de le démontrer, la pandémie de coronavirus (COVID-19) a affecté la quasi-totalité des activités humaines sur l’ensemble de la planète. Avec 178 pays actuellement affectés par cette crise, et alors que les inquiétudes se font de plus en plus grandes quant aux conséquences économiques mondiales qui en résulteront, il convient également de jeter un regard sur l’impact de la pandémie sur les activités humanitaires.
Régulièrement sur Internet, l’actualité met en lumière des initiatives dont l’objectif premier est strictement humanitaire, comme cela a été le cas avec la paille LifeStraw, ou le mouvement de la #LoveArmy. Dernièrement, c’est le cas du riz doré qui est revenu sur le devant de la scène, notamment suite à la publication d’un article de The Guardian intitulé « Block on GM rice “has cost millions of lives and led to children blindness” » (Traduction : Le blocage à l’encontre du riz OGM a provoqué des millions de morts et contribué à la cécité d’enfants).
Il y a tout juste deux ans jour pour jour débutait l’une des crises humanitaires majeures de notre siècle : Près d’un million de Rohingyas prennent la fuite depuis leur pays – le Myanmar – pour se réfugier de l’autre coté de la frontière, au Bangladesh. Aujourd’hui, que reste-il de cette crise ? Quelle est la situation pour les Rohingyas réfugiés au Bangladesh ? Et qu’en est-il pour les dizaines de milliers de Rohingyas restés au Myanmar ?